Bien-aimés, je suis chez nous, au ciel,
Tout n’est que bonheur et clarté.
La joie y est parfaite, ainsi que la beauté,
Dans cette lumière éternelle.
Ici, plus de douleur, plus de tristesse,
Plus d’agitation, plus de stress ;
Enfin, je suis dans la paix pour toujours,
Bien arrivé au céleste séjour.
Est-ce étonnant que j’aie traversé
Cette vallée de l’ombre avec sérénité ?
L’amour de Jésus a illuminé
Les lieux de crainte et d’obscurité.
A ma rencontre il est venu lui-même,
Sur ce chemin si difficile à suivre.
Appuyé sur son bras, pouvais-je laisser même
Une crainte, un seul doute mon cœur envahir ?
Alors ne pleurez pas, ne vous attristez pas.
Tendrement je vous aime, et voici ma prière :
Regardez au-delà des ombres d’ici-bas,
Et faites par la foi la volonté du Père !
L’ouvrage est devant vous, ne vous arrêtez pas.
Faites votre devoir, l’oisiveté n’est plus ;
Travaillez tant que la vie est là,
Vous vous reposerez au pays de Jésus.
Quand tout sera fini, votre tâche accomplie,
Il vous appellera : « Viens donc à la maison ! »
Oh ! L’émerveillement de notre communion
Et la joie avec vous d’être enfin réunis
Nye Price
Note : ce poème a été trouvé dans les affaires de Nye Price, par son épouse, après son décès. On pense qu’il a été écrit voici déjà plusieurs mois
JE VOUS AIME ET LE VISAGE DE YOHANN EST GRAVE DANS MA TETE. Je le vois comme je vois le visage de mon fils. Gloire à Dieu !
Bien arrivé !
Bien-aimés, je suis chez nous, au ciel,
Tout n’est que bonheur et clarté.
La joie y est parfaite, ainsi que la beauté,
Dans cette lumière éternelle.
Ici, plus de douleur, plus de tristesse,
Plus d’agitation, plus de stress ;
Enfin, je suis dans la paix pour toujours,
Bien arrivé au céleste séjour.
Est-ce étonnant que j’aie traversé
Cette vallée de l’ombre avec sérénité ?
L’amour de Jésus a illuminé
Les lieux de crainte et d’obscurité.
A ma rencontre il est venu lui-même,
Sur ce chemin si difficile à suivre.
Appuyé sur son bras, pouvais-je laisser même
Une crainte, un seul doute mon cœur envahir ?
Alors ne pleurez pas, ne vous attristez pas.
Tendrement je vous aime, et voici ma prière :
Regardez au-delà des ombres d’ici-bas,
Et faites par la foi la volonté du Père !
L’ouvrage est devant vous, ne vous arrêtez pas.
Faites votre devoir, l’oisiveté n’est plus ;
Travaillez tant que la vie est là,
Vous vous reposerez au pays de Jésus.
Quand tout sera fini, votre tâche accomplie,
Il vous appellera : « Viens donc à la maison ! »
Oh ! L’émerveillement de notre communion
Et la joie avec vous d’être enfin réunis
Nye Price
Note : ce poème a été trouvé dans les affaires de Nye Price, par son épouse, après son décès. On pense qu’il a été écrit voici déjà plusieurs mois
JE VOUS AIME ET LE VISAGE DE YOHANN EST GRAVE DANS MA TETE. Je le vois comme je vois le visage de mon fils. Gloire à Dieu !